Malgré un match nul encourageant (2-2) contre la Mauritanie à domicile, le Togo a essuyé une défaite (2-0) face au Sénégal lors d’une rencontre décisive pour la course à la qualification pour la Coupe du Monde 2026. Des fautes individuelles ont pesé lourdement sur le résultat pour les Éperviers dans ce match crucial.
#1 Erreurs individuelles cruciales
Le match a été marqué par des erreurs individuelles du côté togolais qui ont directement conduit aux deux buts sénégalais. La première erreur, une mauvaise relance, a permis au Sénégal de lancer une action offensive conclue par le but de Pape Matar Sarr.
La seconde erreur, une sortie manquée du gardien Youssouf Morou sur un coup-franc, a entraîné un but contre son camp de Kévin Boma, scellant définitivement l’issue du match. Ces erreurs ont coûté cher à l’équipe togolaise, qui n’a pas su les compenser par une performance offensive suffisamment solide.
#2 Un spiral négatif sans fin
La rencontre était cruciale pour les deux équipes, notamment pour le Sénégal qui jouait sa survie dans le groupe. Cette motivation sénégalaise a pu se traduire par une plus grande concentration et une exploitation plus efficace des erreurs togolaises.
Le Togo, après son match nul contre la Mauritanie, devait impérativement obtenir un bon résultat face au Sénégal pour rester dans la course à la qualification. La défaite met en évidence une incapacité à confirmer un résultat positif et à performer dans les matchs à haute importance.
#3 Conséquences sur la qualification pour la Coupe du Monde 2026
Cette défaite place le Togo dans une situation très défavorable au sein du groupe B. Avec seulement 4 points, les Éperviers sont désormais largement distancés des trois premières places occupées par la RD Congo, le Sénégal et le Soudan.
La qualification pour la Coupe du Monde 2026 devient extrêmement difficile pour les Éperviers. Ils devront réaliser un parcours quasi parfait lors de leurs prochains matchs et espérer des faux pas de leurs concurrents directs pour avoir une chance de se qualifier. La marge d’erreur est désormais inexistante.