Denis Abalo à Al Anwar : son conseiller en communication donne des détails

Comme nous l’avions annoncé en exclusivité, Denis Abalo s’est engagé avec le club libyen d’Al Anwar. En pleine pré-saison, son conseiller en communication est revenu sur les détails de son transfert. Il s’est confié à la rédaction de 228foot.

Comment se sont passés les premiers contacts entre le club et vous ?

Nous avons été contactés par un représentant du club au cours de la saison 2024/25, puisqu’il suivait notre actualité sur Facebook. Al Anwar a beaucoup insisté, mais nos échanges sur les modalités du transfert avaient un point d’achoppement. Finalement, nous avons trouvé un terrain d’entente pour que ce transfert se réalise.

Qu’est-ce qui vous a motivé à opter pour Al Anwar ?

C’est le projet qui nous a été présenté par le club. L’ambition du club est tournée vers de jeunes joueurs à fort potentiel, bien encadrés par les joueurs expérimentés de son effectif. Sans oublier un temps de jeu assez conséquent. Bien sûr, cela dépendra aussi de la capacité de Denis à confirmer tout le bien que l’on pense de lui.

Y a-t-il eu d’autres clubs intéressés par votre protégé ?

Presque une dizaine de clubs se sont intéressés à notre profil. Le Maghreb dominait parmi les prétendants. Mais Al Anwar nous paraissait idéal pour la progression de Denis.

Quels sont vos objectifs pour l’avenir de votre joueur ?

À court terme, nous souhaitons donner satisfaction à Al Anwar au cours de cette saison et atteindre les objectifs du club (notamment obtenir un bon classement). À long terme, nous laisserons la providence nous guider.

Quels sont les dessous ou les anecdotes que vous pouvez nous dévoiler sur ce transfert ?

Ce n’est peut-être pas une anecdote, mais pour ce transfert, les discussions se faisaient à des heures tardives. De plus, la communication entre l’arabe et le français était parfois très compliquée. Fort heureusement, nous avons réussi tant bien que mal à nous comprendre sur les termes du contrat. Actuellement, les échanges entre le club et nous sont bien plus fluides qu’au début.